Nom : Meisak

Prénom :  Reiri

Age :  17 ans

Date de naissance :  4 mai 1999

Sexe :  Féminin.

Orientation : Hétérosexuelle

Race :  Empathe

Caractère :  Reiri est une jeune fille très têtue et déterminée. Elle fonce la tête baissée sans faire attention aux conséquences. Elle ne veut pas tuer, car elle pense qu'une vie de souffrance est bien plus dure qu'une simple mort. Les épreuves qu'elle a vécu l'on rendue dure. Elle ne prend plus le temps de rire, de s'amuser, d'aimer. Si un jour le besoin s'en fait ressentir, elle tente de l'oublier, de ne plus y songer, car elle n'a pas de temps à perdre.

 Famille : Elle n'a plus personne.

 Armes : Elle peut faire apparaître dès qu'elle veut  un grand katana au manche rouge sang.

Magie : Comme tout les empathes, elle peut déchiffrer les émotions de ceux qui l'entourent et les manipuler. Elle peut  leur faire faire ce qu'elle veut, en choisissant la  bonne émotion. Cependant, une utilisation trop prolongée de la manipulation peut lui faire perdre le contrôle. Elle rendra ces manipulés fous et aura de grandes chances de le devenir aussi.

De plus, les émotions qu'elle perçoit en permanence peuvent l'empêcher de vivre normalement, puisque les émotions les plus palpables sont la peur, la haine, le dégoût et  la tristesse.

Qualité : ça dépend comment on voit les choses. Ses défauts sont pour elle utiles, donc elle les considère comme des qualités.

Défauts : Son entêtement et son manque d'intérêt pour les distraction sont ses principaux défauts.

But : Elle veut se venger, mais sans tuer.

Aime / Aime pas : Avant, elle aimait beaucoup de choses. Mais maintenant, elle ne prend plus le temps d'apprécier la vie et elle ne se dit plus j'aime, j'aime pas. Elle prend les choses comme elles viennent, sans se poser de questions.

Marque : Elle a une grande cicatrice qui lui barre le ventre.

Atout : Son pouvoir qui lui permet de toujours arriver à ses fins.

Faiblesses : Ses défauts sont ses faiblesses, avec le fait qu'elle ne tue jamais.

Camps :  Elle est une contractor.

Histoire :  Reiri a eu une vie plus que banale : des parents aimants, un petit frère et une petite soeur, jumeaux, et de nombreux enseignements pour contrôler son empathie. Reiri était heureuse. Elle adorait sa vie.

Mais à six mois de ses 17 ans, âge auquel on la considérait comme adulte, tout à changer.

Il était trois. Deux hommes et une femme. Tout c'est passé tellement vite ... Un homme s'est précipité vers la mère de Reiri, et l'a décapité. Pendant ce temps, la femme venait vers Reiri, qui tentait désespérément d'utiliser son pouvoir, inexplicablement sans effet. Reiri  vit son ventre se faire poignarder, ainsi que le visage de la femme, rempli de haine. La jeune fille, à moitié consciente, entendit alors les pas des jumeaux, qui dévalaient les escalier  puis les deux coups qui partirent d'un pistolet. Enfin, son père rentra dans la maison, et  Reiri entendit de nouveau le bruit d'une tête séparée d'un corps. Puis elle tomba dans le coma.

Quand elle se réveilla un peu plus tard, incapable de bouger, clouée au sol par la douleur, elle tourna la tête, et poussa un grand cri. Devant ses yeux se trouvaient le corps des jumeaux, baignant dans une mare de sang, et un peu plus loin, la tête de son père, sans aucun corps accroché. Elle ferma les yeux, sachant que de l'autre côté, sa mère était dans la même situation que son père.

Une éternité après, les secours virent et lui sauvèrent la vie. Enfin au sens médical du terme. Reiri ne pouvait fermer les yeux sans voir  les cadavres de chacune des personnes qu'elle aimait. Lorsqu'elle sortit de l’hôpital, elle n'avait qu'un mot en tête. Vengeance. Elle ne laisserait pas vivre sereinement ceux qui avaient massacrés sa famille. Non. Il méritait de vivre une vie de souffrance. Comme elle.

Image : 

Image transformé : 

No game no life est un light novel, adapté en manga (1 tome au japon) et en anime (1 saison de 12 épisodes, sortie en 2014).

Il s'agit deux l'histoire de Sora et Shiro, frère et sœur de cœur, qui sont hikikomori (pathologie psycho-sociale qui correspond à l'isolement ...). Tout deux sont de grands joueurs, invaincus à tous les jeux, sous le pseudo ⌊   ⌉ (les blancs). Un jour, quelqu'un leur lance un défi d'échec. Ils se retrouvent suite à cela entraînés dans un monde régi par les jeux, qui leur convient bien mieux que la vie réelle ...

Je trouve que no game no life est bon, avec des personnages dont le caractère est amusant. L'anime est très coloré, et donc elle rend mieux que le manga. Mais dans les deux versions, j'ai beaucoup aimé Shiro.

Coucou !

Un petit article pour déjà vous dire merci de passer sur mon blog, de prendre le temps de lire mes articles ... Vous êtes supers ^^

Aussi, cet article est pour parler du nombre d'articles que je publie par semaine ... Comme vous avez pu le remarquer depuis plusieurs semaines, j'essaye de tenir avec deux articles par semaine, un le mercredi et un le week-end (le jour dépend de mon inspiration ^^). Je vais essayer de tenir ce rythme le plus longtemps possible ...

Voilà ... ^^ encore merci !

 Comme je vous l'avais dit, voilà la suite des dessins que j'ai fait depuis le mois de janvier, cette fois réalisé sans modèle.

Le dessin précédent représente une scène venant d'un rpg, que j'avais déjà croquée dans un cahier.